( suite de la bibliothèque)
J'étais alors rentré dans la maison que les shendaïs m'avait prêter pour mon séjour. Je me dirigeais alors dans le bureau y déposais mes affaires, pris du jus de yuka et commençais à lire le livre que j'avais emprunter. Plusieurs passages parlaient de guerre très ancienne à l'époque où mes ancêtres reignait sur l'Ile du Mal. Puis je fut surpris que l'on parle de moi à l'époque où j'avais perdu ma mémoire. Enfin je tombais sur un passage interressant qui parlais de ma destinée:
"C'est alors que Saneïr, l'Élu du Dragon appelé aussi Démon de Lumière, partira en quête de son trône volé mais il découvrira que l'Ile du Mal a sombré dans la guerre et qu'elle ne peut devenir un royaume du Bien. Alors son destin changera. Il ne deviendra pas Roi mais il sera nommé Kal, c'est-à-dire, grand conseiller de la Reine du Feu par le Grand Dragon en personne. Ce titre sera transmis de génération en génération.
Le Royaume de Feu sera alors dirigé par trois partisans du Bien, le Grand Dragon appelé Teïr par le peuple Shendaï, La Reine du Feu ,qui sera alors sa femme, et par Saneïr, le Démon de Lumière."
J'était estomaqué par ce que je venais de découvrir. Si cette "prophétie" Shendaï était vraie, je n'était pas destinée à reprendre le contrôle de l'Ile du Mal. Ce passage avait répondue à tant de questions mais je devais maintenant retourner à Argent pour en discuter avec Akasha et Imrahil. Je préparais donc mes affaires, je devais partir tout de suite. Je sortais de la maison et croisais Vateo qui me stoppa:
-Vous avez l'air pressé Torak. Que vous arrive-t-il?
-Vateo, j'ai emprunté un des livres de votre bibliothèque qui me concernait. Je suis donc dans l'obligation de partir et je voudrais amener ce livre avec moi qui est d'une grande importance pour moi.
Vateo me regarda d'un oeil amusé et me déclara:
-Partez avec ce livre, je savait que vous découvririez un jour votre Destin. J'expliquerais au conseil la cause de votre départ.
Vateo m'accompagna jusqu'à la sortie de la Montagne, il me fit un signe d'adieu et cria, alors que j'étai au loin:
-Au revoir, mon ami, et que les augures vous protègent.