Maison de Judonastral

J'étais devant une petite maison, au bord d'un lac. Un elfe sortit et m'accueillit. Il me fit rentrer dans sa maison et me posa une question:

-Que fait tu loins de chez toi, jeune elfe?

-Je cherche un sorcier du nom de Judonastral. Le connaissez-vous?

-Bien sur que je le connais, c'est moi, me répondit l'elfe.

Je fut par cette réponse. J'avais enfin trouvé le sorcier que je cherchait. Je lui déclarait que ma ville était touché par une maladie grave.

-Ta mère t'a donc envoyer pour que je te donne le remède?

-Comment le savez vous?!

-Je suis un sorcier et je connais bien ta mère. Nous étions très proche.

-Vous étiez?!

-Oui je l'ais quitté depuis un certain temps.

-Vous êtes...vous êtes donc mon...mon père?!

Le sorcier acquiesçat. je fut frappé par cette déclaration. Le sorcier dont ma mère parlait, était donc mon père. Je lui posais alors la question:

-Mais pouvez-vous me donner le remède, Père?

-Je peut te le donner mais à une seule condition. Je veux que tu combattes auprès du général Jacen. Il est sur le point de renverser Akasha Idril, la Reine du Feu. Si Jacen gagne, tout les peuples dont le tiens seront en sécurité.

J'hésitais...longuement. J'avais besoin de ce remède mais pourquoi fallait-il que je me batte pour l'avoir?

-Ta première bataille sera juste un test. Seul les combattants qui réussiront le test que je leur donne pourront avoir ce remède.

Après un long moment d'hésitation, j'acceptais, mais un contre-coeur. Puis mon père me dit:

-Prends le portail magique qui se trouve devant ma maison, tu seras directement téléporter au camps du général Jacen. Bonne chance mon fils.

Je sortis alors et pris le portail. Je me retrouvait près d'un château et d'une colline où se trouvait un camp. Je me dirigeais donc vers la colline.

Nowe venait de faire plusieurs lieus endormit sur sa monture. La veille, il avait utilisé deux fois son pouvoir est était extrèmement fatigué. Belar lui avait conseillait de ne pas l'utiliser trop souvent... Mais il n'avait pas le choix : Ce n'était pas par plaisir qu'il l'utiliser régulièrement, seulement plus il le faissait et plus il pouvait le faire et plus il serait fort pour LA rencontre de sa vie (pas en amour, en guerrier plutôt^^)
Ils arrivèrent tout deux à la maison de Judonastal, un parent de Belar.
Nowe descendit de cheval sans difficulté aucune car depuis la veille, il avait largement eut le temps de récupérer.
Belar descendit à son tour, ils attachèrent leur montures et se dirigèrent vers la porte.
Nowe s'effaca devant son ami :

Après toi...

Nowe me laissa passer devant, je frapais à la porte et mon père l'ouvrit:

"Mon fils, je t'attendais. Je vois que tu es venu avec un ami. Entrez, nous allons parler.
-Père, je te présente Nowe, un ami.
Nowe s'inclina puis je continuai:
As-tu le reméde que je t'ai demandé?
-Bien-sûr mon fils, je vais le chercher, attends-moi là."

Il partit dans une pièce voisine et revint avec une fiole de la taille d'un bol.
Cette cantité ne suffisait pas pour le village alors je dis troublé:

" Il n'y en aura pas assé pour tout les malades Père.
-Une seule goute de cette potion peut soigner une demi-douzaine de personnes malades."
Quand il me fit cette remarque, je restai bouche-bé et Nowe aussi.
Je remercis mon père et lui demandai s'il ne connaissai pas un certain Général Krismor. Il me répondit:

"Ce nom me dit quelque chose. Oh oui, c'était un veil ami à moi, il m'a trahit, depuis, plus de nouvelles mais je sais qu'il habite dans le Royaume de l'Air. C'est sur votre chemin, vous verrez une grande maison noire remplis de bandits montant la garde toute la journée. Pourquoi cette question?
-Il a trahit Nowe qui, pour cette raison, veut le tuer. Tu as parlé de bandits qui montent la garde?
-Oui, il en a recruté pour se protéger de ses vieux amis qu'il a trahit. Pour la plupart se sont des hommes mais il y a aussi des trolls et des gobelins.
En total, environ une centaine des gardes."
Cent gardes, ça faisait beaucoup alors je demandai à Nowe:

"Quand penses-tu Nowe?"

Une lueur d'espoir brilla dans les yeux du jeune chevalier : Enfin ! Il le tenait.
Il regarda Belar et lui fit les remarques que celui ci attendait :

Krismor n'a pas changé. Il trahit comme il change de chemise... La plupart de ses gardes sont des soldats de ma confrérie... Il était notre Général et Instructeur... Il possède des pouvoirs qui lui permette de convaincre n'importe qui de le suivre... Sauf ceux qui maîtrise l'Ame du Vent comme moi... C'est pour cela que je dois tant m'entrainer.
Si il a recruter des trolls et des gobelins, ils seront très facile à éliminer. Le pouvoir de Krismor rend... Comment dire ?... Lent à la détente.
Pour les soldats, par contre, ce sera qutre chose. Ils lui sont tous fidèle de longue date... Mais on peut y arriver

Quand Nowe me fit cette remarque, je réfléchissais puis je dis:

"Les gobelins seront peut-être facile à tuer mais les trolls non. Ils sont sûrement long à la détente mais ils sont résistant et je doute que je n'ai assez de flèches de mythril pour tous les tuer. Ce n'est pas chose aisé de s'attaquer à une armée de cent hommes près à tuer tout intrus qui entre dans la grande maison. Il faut trouver un plan."

Je réfléchissais au moyen de pénétrer dans le château sans les attaquer de front:

"Les diversions risque de ne pas marcher. La ruse non-plus car ils sont trop nombreux. Je ne suis pas un expert en méthode d'infiltration.
- Ton cousin Torak ne t'a appris l'infiltration?
-Non il n'a pas pu."

Nowe me regarda avec des gros yeux. Il était sans doute étonné que je sois le cousin de Torak.
C'est alors qu'une idée me traversa l'esprit. Je dis à Nowe:

"L'Ame du Vent peut détourner les pouvoirs du Général Krismor pour que les gobelins et les trolls retrouve leurs sauvagerie, alors ils se retourneront contre ses hommes pendant que l'on pénètrera dans la salle de Krismor. Tu m'as dis que l'Ame du Vent résistait contre ses pouvoirs donc on pourrait les bloquer et ainsi tenter de le tuer. Quand dis-tu?

- Ton cousin Torak ne t'a appris l'infiltration?

Nowe fut surpris d'apprendre la nouvelle mais ne fit aucun commentaire. L'idée de Belar était excellente mais assez risqué pour lui : Si cela loupé, il se retrouverais complètement incontrolable et risquerait de blesser son ami.
Il croisa les bras et réfléchit plusieurs minutes dans un profond silence.
Si il utilisait l'une des nombreuses propriétés de son talent... Oui, cela pouvait marcher mais il fallait être prudent.

Tu as raison. Mais je te préviens tout de suite que cela me fatiguera énormément durant quelques minutes et qu'il te faudras me couvrir durant ce temps. De plus, il est possible que les trolls n'attaque pas que les soldats. Mais qui ne tente rien n'a rien, n'est-ce pas ? Quand partons-nous ?

Nowe me demanda quand nous allions partir, je lui répondis:

"Nous partirons à l'aube. Il faut nous reposer, je te réveillerai.

-Belar, il ne te reste que cinq jours car la potion ne prend que deux jours pour agir et ta mère va mourir dans les sept qui viennent."

Cinq jours! Je n'avais plus beaucoup de temps alors je déclarai:

"Nous allons partir à Mëinel Tärma en bâteau et ensuite, nous continuerons à pied jusqu'à la grande maison de Krismor et ensuite, à supposer que nous soyons encore vivant, nous irons sauver mon village puis nous rentrerons à Nar Fëa et pour ça, je sais comment nous allons nous y prendre. Pendant se temps, allons dormir."

Mon père nous montra nos chambre et partit.
Je retirai mon armure, rangeai mon arc, mon carquois et mon épée puis je sortis sur le balcon où mon père y était déjà:

"Père, pourquoi as-tu quitter ma mère?
-Je mettais sa vie en danger.
-Pour quelle raison?
-C'était il y a cinquante-huit ans, ta mère et moi habitions dans Mëinel Tärma, nous vivions heureux.
Puis, un jour, des elfes noirs entrèrent dans notre maison et demandèrent s'ils étaient bien chez Judonastral Sagonne.
Je savais pourquoi ils étaient venu. j'ai alors dis à ta mère de se cacher avec Cinéraël.
-Qui est Cinéraël, Père?
-Ton frère Belar.
-Mon frère?!
-Oui, ils étaient venus pour me tuer ainsi que ton frère et ta mère.
-Mais pourquoi voulaient-ils vous tuer?
-Pour exterminer ce qu'il reste de la lignée des Sagonne. Je vais t'expliquer.
La lignée des Sagonne est la lignée des premiers rois de Mëinel Tärma, il ont toujours apporté la paix mais un jour, une armée d'elfes noirs est arrivée la guerre a éclaté. Mon grand-père est mort lors d'une bataille et le chef des elfes noirs à alors pris la place du trône.
Mon père n'était pas encore né. Des fidèles de mon grand-père ont caché ma grand-mère dans Iluvëlian et dès lors, les elfes noirs me poursuivaient dans tout Thalion. Ils m'ont trouvé et c'est ce jour que ton fère s'est fait tué.
Après, j'ai dit à ta mère d'aller dans Mëinel Tärma , ainsi, si les elfes noirs me trouve, elle sera en sécurité. J'ai demandé à Iridrien de la protéger. Lors de notre séparation, elle était enceinte de toi."

Quand il me fit cette déclaration, je me sentais triste pour mon frère. J'aurais vraiment eu envis de le connaître.
La nuit passa, le matin arriva, j'allai donc réveiller Nowe et nous partîmes en direction de Mëinel Tärma.

Nowe avait passé une nuit agité pleine de questions sans réponses et de réponses sans questions, il devait en priorité aider son ami mais il ne voulait pas laisser échapper sa cible, sa proie....
Le lendemain, il se leva néanmoins avec vitalité et parti, frais et dispo en compagnie de son ami elfe,Belar.
Ils chevauchèrent tout deux en direction du port le plus proche.
Là bas, ils trouvèrent un bâteau à l'aspect solide et à l'équipage honnête et travailleur.
Ils payèrent leur traverser pour Mëinel Tärma et levèrent l'ancre sur le champs.
Nowe observa par la balustrade, les flots se briser doucement et régulièrement sur la coque du navire. Il réfléchit un instant puis se tourna vers Belar :

Parle moi un peu plus de ton village. Je veux savoir comment il est fait, juste au cas où...

Nous partîmes donc à Mëinel Tärma en bâteau. Nowe me demanda comment était fait mon village, je lui répondis:

-C'est un village comme les autres, je m'y plaisais. Il y avait une femme, Hacha, qui fabriqué du pain elfique délicieux. Etant petit, j'en achetais tout les matins. Tical, mi-homme mi-elfe, il m'a entrainé à l'arc et m'a fabriqué mes flèches de mythril. Il y a plein d'autres personnes. Le village est très petit et comporte deux-cent trois habitants dont cent cinquante-six de malades."

C'est alors que je sentis une sensation que je n'avais jamais eu avant:
une larme sortit de mon oeil droit.
C'était une sensation très désagréable. Je pensais à mon frère Cinéraël, c'était cela qui faisait sortir cette eau de mon oeil. Quand tout d'un coup, une vision me traversa l'esprit:
Je vis une personne au beau milieu de la végétation. Un elfe, qui semblait mauvais, un elfe noir.
Ma vision s'estompa et je repris mes esprits.
Le crépuscule arriva, je vis la terre au loin. Nous serons sur Mëinel Tärma au matin.

(HJ: Nowe poste où tu veux maintenant, je te répondrai.)