Dans les couloirs

Ici se passent de nombreux complots, entre servants et servantes, entre pages et écuyers. Chacun cherche a sa façon d'attirer l'attention de la reine et de s'attirer ses faveurs.
Mais c'est aussi l'endroit idéal pour surprendre la conversation de quelques inconnus de passage...
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Takeo suivit Torak dans la salle et devint brutalement grave.
"Brave homme permettez moi de vous dire deux ou trois petites choses:
Vous me semblez fort urbain, je vais donc vous révélez le mot secret qui permet de trouver la montagne de mon peuple; mais si vous faites l'une des deux actions interdites, je vous tue.
Ces deux actions sont: la trahison et l'indifférence envers celui qui mérite l'attention.
Le mot secret est "Altaïr" quand vous vous dirigez vers le nord."
Après avoir dit cela il redevint amical:
"Que voulez vous donc mon ami?"

Jacen suivit lui aussi Torak jusque dans une petite salle. Jacen entendit Takeo parler à Torak, Takeo vennait de donner le mot secret permettant de trouver la montagne de son peuple, Jacen se demanda bien pourquoi Takeo donnait le mot secret à Torak qu'il connaissait à peinne ! "Mais cela ne me regarde pas ! Mais c'est quand même bizarre" pensa Jacen.
Devant l'étonnement de Torak pour la façon dont Takeo venait de lui parler, Jacen s'approcha de Torak et lui murmura :
"Ne t'inquiète pas pour son brusque changement d'hatitude, il fait ça à la plupart des personnes à qui il donne le mot secret. J'y ai eu droit moi aussi."
Jacen se remit à parler normalement."Alors. Où en étions nous ?"

Takeo dit à Torak:
"Mon ami, je sens que vous hésitez àme faire confiance. Aussi je vous propose de devenir porte parole de la Reine en venant visiter mon pays."

Sans attendre son approbation, Takeo retourna vers la salle du trône.
Il s'apprétait à rentrer quand il s'avisa et frappa d'abord à la porte.
Il attendit une réponse favorable, pénétra dans la pièce et dit à la Reine:
"Majesté je constate avec plaisir que vous avez reprit des forces et je pense que la divine influence de Teïr y est pour quelque chose. Après tout il a sauvé tellement d'innocent dans sa vie... (il s'inclina profondemment vers ce dernier)
Madame, je sais par expérience que quand on se permet de rentrer chez quelqu'un en lui cassant la porte, il se méfit de vous. Aussi, ais-je proposé à Torak de constaté par lui même les bonnes intentions de mon peuple. Je lui est d'ailleurs confié le mot secret qui permet de trouver notre montagne si on ne connait pas sa position; mais il ne pourra vous le répéter sous peine de mort... navrés mais au jeu du mot de passe, c'est moi qui décide qui peut jouer.
Je vous demande donc de me céder Torak pour quelques temps... il reviendra entier, j'en fait le serment..."

Jacen suivit Takeo jusque vers la salle tu trône mais s'arréta devant la porte Aprés la crise qu'elle nous a piqué, je ne vais pas aller la revoire de sitôt ! pensa Jacen.
Il attendit donc que Takeo est fini d'expliquer à la reine que Torak aller surment venir dans la montagne des Shendaï avec Takeo. Mais je vais aussi venir avec eux, car maintenant que j'ai retrouvé Takeo, je ne vais pas le laisser filer ! se dit Jacen.
Jacen s'avancea donc vers Takeo pour lui demander si il pouvait l'accompagner, avec Torak, à la montagne des Shendaï."Si je t'accompagne chez toi, au moins, nous pourrons parler sans peur de géner certaine personne (Jacen montra discrètement la reine) et surtout, je pourrais te dire le <<pourquoi>> je te cherchais, ce qui est trés important pour la destinée de tous les royaumes......

Avant de partir Takeo murmura:
"Décidément... je deviens de moins en moins galant"
Il se retourna vers Kienna et la salua d'une révérence. Il s'approcha ensuite d'elle et lui parla d'un ton sérieux qu'il ne prenait que très rarement:
"Kienna, autant être franc avec vous. Je vous est énervé et j'en suis conscient, cela doit être un défaut de famille, je vous est peut être mis des bâtons dans les roues et je m'en excuse également. Mais sachez que ce serrait un grand honneur pour moi que de vous considérer comme une amie. En gage de ma bonne foi, je vous propose de venir avec Torak et Jacen à la montagne des Shendaï... Je ne vous oblige en aucun point évidemment; après tout vous savez comment vous y rendre... Les portes vous seront toujours ouverte... Si vous voulez venir vous savez désormais où me trouver."

Takeo redevint plus jovial et proclama haut et fort:
"Le convois à destination de mon peuple, avec moi!!!"
Il partit alors d'un éclat de rire assez surprenant et sortit du château en direction d'une prairie qu'il avait repérer en arrivant.
Il s'arrêta alors et se retourna vers ses compagnons:
"Mes amis, nous allons utiliser le mot de passe [personne ne le vol (le mot de passe) merci] il n'y a personnes aux alentour, j'ai vérifié. Vous allez marcher droit devant vous, en direction du nord sans vous arrêter."

C'est ce qu'il firent. Au début, rien ne se passa puis Takeo prononça brusquement le mot secret...
Ils continuèrent d'avancer, mais le paysages tourné autour d'eux dans le sens du soleil (est en ouest). Quand tout s'arrêta enfin, ils étaient devant une gigantesque porte de glace avec seulement deux fentes.

"Messieurs vous allez maintenant être les premiers être non-Shendaïen à franchir cette porte depuis 5 ans. Jacen, toi qui est déjà venu avant que la guerre ne nous oblige à fermer nos porte, tu dois te rappeler où se trouve la taverne? Je viendrais t'y rejoindre quand j'aurais installer Torak, ici présent, confortablement.
Torak tu vas désormais voir à quel point notre isolement à été bénéfique pour notre peuple..."

Takeo fit sortir de ses phalanges les lames de ses deux mains puis les enfonça lentement dans les fentes; il fit tourner ses poignets vers l'extérieur et les retira avant de rétracter ses lames.
Il mit ensuite les deux mains sur les battants de la gigantesque porte.
"Messieurs, voici la montagne des Shendaï!"
Il poussa alors la porte, révélant une splendide avenue pavé. Les maisons étaient de couleurs neiges et tout y était propre. Les habitants se retournèrent vers Takeo et le saluèrent. Celui répondit avant de se retourner vers Torak:
"Alors mon ami, qu'est ce que vous en pensez?"

Elle le suivit en silence. Elle verrait bien où cette histoire la mènerait de toutes façons. Et puis elle n'avait pas grand chose d'autre à faire... Elle savait ce qu'elle voulait à propos de la reine et également qu'elle n'était désormais plus le seul "renard" sur qui tout le monde avait les yeux rivés. Et elle n'avait plus besoin de cette robe grotesque et qui la gênait plus qu'autre chose. Elle resta alors un peu en retrait et, s'assurant que personne ne la verrait, elle retira cette robe et se la noua à la taille,retrouvant à peu près son habillement habituel: un pantalon et un haut sombre et serré, ainsi que ses chères bottes. Elle arracha aussi la baguette en bois qui tenait ses tresses relevées en chignon, et ses cheveux tombèrent à nouveau comme auparavant... Son visage était comme transfiguré par ce changement soudain: il semblait plus allongé, les os de ses joues plus saillants et sa chair plus blanche. Elle même semblait encore plus grande avec ses longs cheveux qui ainsi lachés tombaient jusqu'à sa taille...

Silver venait de laisser Torak en plan à l'infirmerie.
Il était tellement énervé qu'il ne tenait pas en place, il arpenta les couloirs (sûrement talonné par Torak ^^) et bousculer tout les gardes d'Imrahil sur son passage en leur criant :

"Où est-ce que je peux trouver un charpentier ?????!!!!!!!!!!!"

Il arriva devant une porte en chêne et l'ouvrit sans frapper, là, il y découvrit une petite pièce ou se tenait un garde et une autre personne que Silver ne reconnut pas...

"- Qu'est ce que vous faites ici ?
- Je cherche un charpentier !!!!!!!!!
- Au bout du couloir à droite puis à gauche..."

Silver redoubla la cadence et courut presque dans la direction indiqué, là, il y trouva une seconde porte (en if cette fois) et frappa.... Une seule et brève fois...
Il entra comme un dingue et cria :

"Où est le charpentier ici ???!!!!"

Un homme se leva timidement et, d'une voix faible, dit :

"- Euh.... C'est moi...
- C'est bien. Venez avec moi ! Allez ! On n'a pas toute la journée !!! Et prenez vos outils !"

Silver parcourut dans l'autre sens les couloirs et, une fois dehors, guida le pauvre charpentier vers son bateau troué...

(H.J: Je te le ramène quand j'ai fini ^^)

Cela faisait bien une petite heure que j'admirait les étoiles éparpillées sur un ciel noir. Mon esprit vagabondait, je pensais à la fois à tout et à rien. Mais ma pensée s'arrêta sur Balak, mon frère.
Qu'allait-il faire aider de Del'Garath? Détruire Thalion. Cette idée m'écoeura, nous allions encore vivre une période de guerre, Thalion ne reposera donc jamais en paix?
Après avoir méditer sur ces quelques questions, je rentrais dans le château.
Je me retrouvais alors dans les sublimes couloirs, je pouvais distinguer les couleurs du royaume ainsi que quelques tapisseries sur lesquelles se trouvait le blason d'Argent.
Enfin un garde vint me trouver et annonça:

-Seigneur Torak, j'ai quelques nouvelles à vous annoncer. Tout d'abord, un message de la part de votre cousin et du chevalier Nowe. Ils se dirigent en ce moment même vers la Région de Grands Lacs, une mission importantes m'a t-il dit.
Ensuite, il est important que je vous dise que le ninja Kuja Kazel à quitter le château avec ses compagnons, il avait l'air très pressé.
Enfin le chevalier Belor vous invite à le voir. Il vous attend un peu plus loin dans le couloir, laissez moi vous y amener.

Je souriais à la denière nouvelle du garde, je n'avais pas eu le temps de revoir mon ami dernièrement. Bien sûr, j'informerais Imrahil et Akasha du départ de Kuja, Belar et Nowe, mais cela attendrais demain.
Arriver au bout du couloir, j'aperçu mon ami, le bras en écharpe. Il est vrai qu'il avait été gravement blessé lors de la dernière bataille et je fus étonné qu'il ne s'en tire qu'avec un bras cassé.
Enfin je serrais mon ami dans mes bras et lui dit, plein de joie:

-Belor, tu es enfin guérit, quelle heureuse nouvelle. Je suis vraiment content de vous revoir!

-Moi de même Torak. Ah pardon, j'oubliais, moi de même Mon Général.

Je le regardais et répondit:

-Ah non! Ne m'appelle pas comme ça. C'est toi qui devrait être à ma place en ce moment.

-Arrêtes, je suis trop vieux maintenant pour faire la guerre. Je suis venu te dire que prend ma retraite et que je part rejoindre ma femme et ma fille au Château de Commandement. Je part demain matin, ne me regarde pas comme ça je serais bien accompagné. J'ai une "escorte" de trois chevaliers.

Ces mots me peinèrent un peu mais je fus vite heureux pour lui. Il allait enfin rejoindre sa famille. Il reprit:

-Tu pourras toujours passer me voir, je sais que c'est pas la porte à côté mais si tu es dans le coin je t'accueillerais à bras ouverts. Enfin, on se reverra dans très peu de temps, je ne voudrait pas rater le mariage de Dame Idril.

Et nous continuâmes à parler de tout et de rien pendant toute la soirée. Puis le soleil se leva. Je vis Belor pousser un soupir et il dit:

-Ah, Torak, il est temps que je parte. Je suis content de t'avoir parler pendant toute la soirée.

Je lui rendis un sourire qui exprimait la même chose, puis nous nous allâmes dans la cour. Là trois chevaliers et un cheval l'attendaient. Il monta en selle puis il me fit un dernier signe de la main, et il partis.
Je restais là, tout le seul le regardant s'éloigner vers Sarnarem.
Puis je remontais dans le château et comme à mon habitude regardait le lever de soleil depuis les remparts.
Il était trop tôt pour faire mon rapport aux monarques, alors je décidais d'attendre encore quelques heures, le temps qu'ils se rendent dans la salle du trône.
Soudain une idée me vint, la dernière j'avais envoyer un message télépathique puissant à Xiathor pour qu'il vienne me sauver. Je m'empressais de le contacter:

*Xiathor, c'est Torak, je ne serais pas long. Je suis guéris, il n'y a plus de mal en moi.
Enfin, arrive vite au château, Del'Garath est revenu sur Thalion.
Je t'expliquerais cela en détail quand tu sera arrivé.*

Je sentis le démon approuver, puis le contact mental fut couper. Grâce à ce message je savais à peu près où il se trouvait, il n'étais pas très loin du château, il arriverais donc ce soir où demain.
Puis je me dirigeait ver la salle du trône, entraits et attendais, posé contre l'un des piliers.

Je me baladais dans les couloirs du château après m'être remis du voyage. Je pensais à ce que m'avais dit mon père, que j'étais le décendant de la plus grande lignée de seigneurs elfes de tout Mëinel Tarmä, que je portais l'armure de mon plus lointain ancêtre et que nous sommes, ma famille et moi, poursuivis par des elfes noirs. Cela ne me rassurai pas, il falait que je parle à Torak de tout ceci mais peut-être d'abord à mon oncle, mon cousin devait être sûrement parler d'affaires plus urgentes.

Je partis donc voir mon oncle Iridrien pour lui parler de se que m'avait raconté mon père. Il devait être dans ses quartiers. Je m'y dirigeai donc et je le trouvai sur son bureau en train de remplir des papiers:

"Mon oncle? Je peux te parler un instant.
-Bien sûr Belar, entre.
-Merci. Je voulais savoir pourquoi tu ne ma pas dis que j'étais le décendant d'une lignée de seigneurs elfes de Mêinel Tarmä?
-Ton père te la donc dit. Belar, lui et moi nous sommes dis qu'il vallait mieux pour toi que ton père te le devoile. Il m'a alors donné cette armure que tu portes pour que je te la donne à mon tour."

C'est tout se que je voulais lui demander alors je le remerciai et partis.
Quand soudain une vision m'apparut mais cette vision n'était pas comme les autres car je voyais très flou:
Je vis une sorte de combat qui opposait, je pense, une grande créature des ténèbres ressemblant à un dragon noir contre deux autres dragons, Tarox Ailelame et Imrahil, un homme en armure, sûrement Torak et Eldarion, grand seigneur de Mëinel Tarmä. Je ne savais pas où cela se passait.
Ma vision étrange s'estompa et je retournai dans le château. Il fallait que je trouve Torak. Je ne sais pas s'il est au courant pour ce dragon mais il fallait que je lui parle.
Je partis donc à sa recherche.

Je courais partout dans les couloirs, m'arrêtais à des intersections, quand enfin, je vis Torak. Je me précipitai vers lui puis dit:

"Bonjour Torak, il faut que je te dise quelque chose d'urgent."

Il me regarda d'un air interrogateur et je poursuivis:

"Pour commencer, ma famille et moi sommes en danger de mort car nous sommes poursuivis par des elfes noirs. Je vais te dire la cause.
Quand je suis partis sauver ma mère, j'ai fait halte chez mon père pour qu'il me donne l'antidode qui pouvait sauver ma mère mais avant de partir, me fit une révélation qui m'a troublé et me trouble encore. Il m'a dit que j'étais le descendant de la plus grande lignée de seigneurs de Mëinel Tarmä mais elle a été renversé par des elfes noirs."

Je pris un temps de pause puis repris:

"Depuis ce jour, tous les descendants des seigneurs elfes de Mëinel Tarmä
sont pourchassé par des drows. Ma famille a failli mourrir car ils les avaient retrouvé mais seul mon frère est mort.

Une larme sortit de mon oeil gauche. Je pris une grande inspiration et continuai:

"Alors je te demande si tu comptes partir quelque par et si oui, puis-je t'accompagner?"

Belar s'était précipité sur lui, apparemment très troublé et pressé. Puis il me racontait donc ce qui le préoccupait. Ainsi il était le descendant d'un lignée de seigneurs elfes de Mëinel Tarmä. Interressant.
Mais, revers de la médaille, il était pourchassé par des assassins drows qui voulait en finir avec sa famille.
Belar annonça au chevalier que son frère avait été tué, assassiné par les drows. L'elfe versa une larme puis il demanda au demi-démon s'il pouvait l'accompagner dans son prochain voyage.
Torak hésita un moment, puis il se dit qu'il ne pouvait pas laisser tomber son cousin et qu'il serait utile à Iluminaë.
Le chevalier répondit donc:

-Oui, je partirais bientôt à Iluminaë avec la Reine Maïwen, je demanderais donc à Akasha où Imrahil si tu peux, je pense que si tu lui explique ton histoire, ils accepteront.
Enfin pour le moment je dois me rendre à la salle du trône, un diner va bientôt être servis. Si tu le veux bien, descends à l'Arche d'Acier. Jacen s'y trouve et je voudrais que tu le surveilles.

L'elfe acquiesca et les deux cousins se séparèrent, l'un partant pour la salle du trône, l'autre pour l'Arche.

Zarak, général de la 6e légion, était parti pour le Château de la reine Akasha Idril deux jours après le seigneur nain Kandar. Zarak devait prévenir son roi d'une urgence capitale: des mines s'étaient effondrés lors d'un important tremblement de terre et plusieurs centaines de nains y ont perdus la vie.
Son voyage dura deux jours et il arriva sur les terres de Nar Fëa. Zarak n'était pas habitué à une telle chaleur quand il passait à proximité des volcans. Plus tard, il entra dans Argent. Zarak était impressionné par la longueur des champs.
Enfin, il entra dans le château, épuisé par le voyage mais il n'avait pas le temps de se reposer, il devait informer le seigneur Kandar de la tragedie qui se produisait dans son royaume. Un garde l'arrêta dans sa course et lui demanda:

"Qui êtes-vous et que venez-vous faire ici maître nain?
-Je suis Zarak, général de la 6e légion du roi Kandar et je dois lui parler de toute urgence.
-Oh, vous pouvez passer ."

Le garde s'écarta et laissa passer Zarak qui repris sa course. Il était presque perdu dans ses couloirs hornés de tapisseries. Il se renségnait à tout les gens qu'il croisait pour savoir où était la salle du trône.
Enfin, il trouva la porte de la salle mais un homme lui barra la route et demanda qui était Zarak et pourquoi il était là:

"Je suis Zarak, général de la 6e légion du roi Kandar et je dois lui parler."

Nowe regarda attentivement le nain et au bout d'un moment il lui répondit calmement :

Je suis le chevalier Nowe. Je ne peux pour l'instant vous permettre d'entrer mais si c'est si important, je vais chercher votre Roi. Veillez attendre ici et ne pas sortir votre arme sous peine d'emprisonnement. Nous sommes un peu sur les nerfs en ce moment...

Nowe se faufila discrètement dans la salle et se dirigea silencieusement vers le Roi des Nains. Il lui chuchota à l'oreille :

Sire, navré de vous déranger mais un certains Zarak désire vous voir de toutes urgence. Il vous attend dans les couloirs...

Kandar hocha la tête et suivit Nowe dans les couloirs, là il retrouva le général de la 6 ème Légion de sa forteresse et en fut tout étonné.
Il paraissait essouflé et il semblait avoir courut tout le long du chemin.
Kandar prit un air sévère et lui demanda d'une voix sec :

Zarak ! J'espère que tu as une bonne... Non, une excellente excuse pour m'avoir interrompu dans un festin magnifique... Tu sais mieux que quiconque que je ne supporte pas que l'on me dérange avant la fin d'un repas !

Kandar regarda son jeune Général, c'était de loin le plus jeune des généraux et il était prometteur. Mais pour l'instant c'était un général comme les autres qui dérangé son roi à un moment on ne peu plus important dans la vie d'un nain : Le repas. Et ça, il fallait avoir une bonne excuse pour pardonner un tel acte.
Kandar espérait que Zarak n'oublieré pas de bien se tenir et de ne pas le frustré d'avantage... Ce serait mauvais pour son grade...

Alors ? J'attend ! Que s'est-il passé ? Vite Zarak ! Ma patience à des limites !

Nowe le regarda et répondit qu'il ne pouvait pas laisser entrer Zarak. Il entra alors dans la salle du trône et appela le seigneur Kandar.
Ce dernier suivit Nowe, il n'avait vraiment pas l'air content et sermonna le nain car il était en train de dîner avec les rois des autres royaumes. Zarak se sentais mal, il s'était déjà fait eugeuler par Kandar mais jamais comme cela. Il répondit:

"Veuillez m'excuser seigneur Kandar mais j'ai un message de la plus haute importance à vous confier. Un violent tremblement de terre à provoquer des éboulements dans la plupart de nos mines. Plusieurs centaines de nains y on perdu la vie. Le peuple a peur qu'un nouveau tremblement de terre détruise se qui reste des mines.
Tous le monde c'est activé pour dégager les les rocher des mines. Il nous faudra beaucoup d'argent pour les reconstruire. Alors il nous à semblé préférable, moi et les autres généraux, de vous prévenir de cette catastrophe"

Zarak se tue, attendant la réponse de son roi, mal à l'aise. Son roi allait-il accepter l'excuse? Zarak espérait bien.

Kandar regarda Zarak droit dans les yeux pendant que ce dernier lui relaté les évènements. C'était une catastrophe épouvantable... Une centaine de Nains ? Par tout les Dieux...
Kandar se radoucit légèrement et prit Zarak par les épaules :

Tu as bien fait de venir... Tu es pardonné. Laisse moi réfléchir...

Kandar fit quelques pas dans le couloir en marmonant et soudains se retourna les yeux flamboyant :

Tu as bien dis que c'était un tremblement de terre qui a effondré nos mines ?

Zarak approuva mal à l'aise même si il était pardonné. Kandar reprit sa réflection et se tapa soudain la paume de la main droite avec le poing gauche :

Mille Marteaux rouillés ! C'est impossible ! J'ai moi même vérifier les mines avant de partir et invoquer Kravok, le Gardien des Mines pour m'assurer de leur soliditées ! Elles n'ont pu s'effondrer comme une vulgaire chaumière !... Zarak !

Le général se mit au garde à vous :

Je te confie la mission d'enquêter sur cette sombre histoire. Cherche si les gobelins n'ont pas provoqué ce tremblement de terre... Nous avons des bâtiments en ruines qui auraient du s'ecrouler eux aussi ! Prend avec toi autant d'hommes qu'il te faudra dans la 6ème Légion et trouve moi les coupables ! Quand tu les auras trouvé, amène moi leur chef à la forteresse et attend moi s'y. Que Talahak guide tes pas !

Zarak partit immédiatement et Kandar se tourna vers Nowe :

Merci Chevalier ! Je vais retourner à table à présent.

Kandar retourna s'assoir aux côté d'Eldarion et posa une petite question au passage à Dagga :

Ma chère, que pensez vous des Nains ?

C'était une question typique du Roi des Nains destiné à tester son interlocuteur... Mais ça, Dagga ne le savait pas.


HJ : Zarak, les mines sont taillé dans du granit alors c'est un acte criminel. Les coupables sont les gobelins. Débrouille toi pour les trouver, c'est ta première mission