Aurore Bleu ( suite de Dame ChanteLune )

La haute-reine arriva finalement devant la prote de la suite qui lui avait été destiner. Séchant encore quelques larmes, elle poussa la porte et entra. La pièce était magnifique, décoré surtout de bleu et blanc, elle était parfaite pour une dame d'iluminaë. Elle alla à la fenêtre, observer un peu le ciel , le contemplant. Nilshek vint se poser proche d'elle pour la réconforter du mieu qu'il pouvait. Elle alla à la malle qui avait protéger ses vêtements et l'ouvrir. Regardant l'état du linge, elle hocha la tête satisfaite, et alla appeller un serviteur. elle lui demanda d'aller chercher une autre malle qui était poser dans le fond de son carosse, sous le banc. Le serviteur se retourna et partit la chercher.

Elle retourna à la contemplation du ciel. Il était si beau, en étant si triste. Son peuple souffrait lentement .... et que pouvait-elle faire. Elle se retourna et alla proche du lit. Elle se déchaussa et s'étendit un moment sur son lit. Elle sombra lentement dans sa rêverie qui lui servait de médition, mais fut brutalement sortit de ses pensées par le bruit d'une personne qui cognait à la porte. Elle se leva lentement et dit aux serviteurs d'entrer. elle alla les voir et les remercia de lui avoir emmener. Elle referma la porte et se tourna vers son vieu coffre. Elle s'avanca vers lui, d'un pas solanel et lent. Se penchant, elle déverrouilla la serure et entreprit d'ouvrir le coffre ... un peu rouiller par l'age.

Quand il fut ouvert, Maïwen resta un moment à contempler son armure des temps anciens. Elle sortit lentement toutes les partis et les déposa sur le lit. Elle fut bien contente qu'il ne manque aucun morceau. Alors se dévêtissant, elle remis une simple tunique à la place d'une somptueuse robe. Elle enfila lentement son armure et ajusa les lanière de cuir lentement.

Quand se fut fais, elle s'avanca devant le miroir et s'observa un moment. Celà faisait terriblement longtemps qu'elle n'avait pas enfiler d'armure et encore qu'elle ne dégaine cette épée. Alors tout en s'obervant, elle libéra Tyrémiel, l'épée du juste et du pur ...l 'épée qui avait su faire briller la bannière d'Iluminaë. Elle fit quelques mouvements en l'air avec et rengaina la lame dans son fourreau qu'elle alla déposer un peu plus loin. Elle retourna à la fenêtre observant la scène du ciel. Elle se remémora le message et ne pouvais pas y croire. Damélya marénias, la haute-prêtresse de lumière qui était en fait sa meilleure amie depuis très longtemps, était morte dans le champs de bataille ... elle ne pouvait y croire.

- Je te rejoindre bien assez tôt, damelya .... oui, je te rejoindrai.

mais alors, elle repensa à Torak ... et se sentit effroyablement stupide d'avoir penser celà ... il l,aimait énormément et elle aussi ... et elle ne pouvait se résoudre à le perdre ... En se moment pénible, elle était ronger par l'incertitude.

Il entra donc tranquillement, puis il aperçu son aimée, vêtu d'une armure et l'épée à la main.
Le phénix vint acceuillir le chevalier en se posant près de lui. Torak hésita à lui carresser la tête, craignant que la créature de feu n'accepte pas son geste, puis finalement il gratta un peu la tête.
Le phénix ne dit rien, il semblait accepté le geste du chevalier.
Puis Torak, se tourna vers Maïwen. Il la contempla, la trouvant aussi magnifique dans une armure que dans une robe, puis il s'approcha et déposa un baiser sur les lèvres de son aimée.
Enfin, après un long moment de silence le chevalier déclara:

-Je m'inquiètait beaucoup pour toi, Maïwen, et je m'inquiète encore. Que c'est-il passé?

Il l'a prit alors dans ses bras, attendant sa réponse. Une larme coula des oeil doré, l'inquiétude le rongeait, le faisant même pleuré.
Enfin il souffla dans l'oreille de Maïwen:

-Je t'aime, mon amour.

Elle l'avait sentis entrer dans la chambre. Elle se trouva stupide un peu en se moment, elle avait enfilée une ancienne armure qui lui venait de sa mère .. mais celà lui servait à quoi , c'était la paix dans se royaume. Elle hocha la tête.

Quand elle sentit les lèvres de son aimé sur les siennes, celà la réconforta. Elle le regarda un instant, distinguant au passage une larme tomber. Lui aussi était triste ... il n'aimait pas la voir souffrir. Elle prit finalement une bonne inspiration. Elle se défi de son étreinte amoureuse, et alla chercher le parchemin qu'elle avait posée sur la table, et elle lui tendit.

- Moi aussi, je t'aime Torak, et je t'aimerai toujours, mais voici se que tu voulait savoir.

Citation :

Bien le bonjour à vous très chère reine Chantelune.

Voilà déja quelques jours que vous êtes partit et les choses se son aggraver à Iluminaë. Les orcs ont recommencés à faire des problèmes et nous les avons chassé à plusierus reprises. Donc pour celà, je suis fier, mais il y a un revers amer à cette vistoire.

Au cours des multiples combats, nous avons perdus beaucoups de vaillants guerriers ... je vous dirais même que nous avons perdus plusieurs centaine de soldats. Nous continuons à résister à leurs assauts intermittant et je crois que nous réussiront lentement à nous en sortir.

Au cours, d'une bataille survenu proche de la capitale, nous avons perdus plusieurs prêtres et prêtresses .... donc la Grande prêtresse Damelya. Je suis désolé de vous l'apprendre, mais elle est morte tuer par une lance d'orc.

Nombreux son les morts qui sont aller au paradis ... et nombreux ceux qui iront les rejoindre. Mais je vous promet que le royaume ne tomberas jamais. je vous en fait le serment.

J'aimerais donc savoir se que vous voulez faire.

Cordiallement, votre dévouer général Sazérius

Elle alla s'asseoir sur son lit et le laissa lire. Elle tenta d'éviter d'entendre la lettre à nouveau. Mais elle entendit tout de même le passage où celà disais que Damelya, la haut-prêtresse était tombée au combat. Aussitôt de nouvelles larmes tomba sur ses joues.

- Celà fais tellement longtemps, que je n'avais eu , à protéger mon royaume de la guerre ...... je ne sais pu comment réagir .... , réussit-elle à articuler durant ses larmes.

Maïwen lui tendit donc le parchemin; le chevalier le déroula et le lut. Cette missive était porteuse de mauvaises nouvelles. La guerre faisait rage à Illuminaë, des orcs, des hordes d'orcs, tuaient tout sur leurs passage. Torak bouillona de rage, comment les orcs pouvait-il attaqué le royaume bénie par les dieux, ce royaume sacré?
le chevalier continua à lire, la fin annonçait une grave nouvelle. La Grande Prêtresse avait été tué en défendant vaillament et bravement le royaume d'une attaque.
Torak fut émue en lisant ce passage, même s'il ne la connaissait pas, il était profondément touché. Pour lui, une prêtresse n'avait pas le droit de mourir au combat.
Il enroula le parchemin et le déposa, puis il entendit Maïwen pleurer et lui dire qu'elle ne savait pas comment réagir. Cela brisa le coeur du chevalier, il n'aimait pas la voir pleurer et désespéré.
Il s'assit à côté de son aimée et lui annonça d'une voix sincère:

-Maïwen, je viens avec toi à Illuminaë, je demanderais à Akasha et à Imrahil de mettre des chevaliers sous mon commandement. Ils accepteront je n'en doute pas, et je te jure qu'ensemble nous repousserons ces maudits orcs de ton royaume.

Il regarda l'ange pleurer, elle souffrait, elle souffrait énormément. Le chevalier la prit dans ses bras afin de lui apporter, du réconfort.

Quand elle le sentit la serrée dans ses bras, elle reprit un peu de vigueur. Et elle entendit par la suite ... qu'il voulait l'accompagner à Iluminaë ... elle en resta sans voix un instant et elle s'entendit aussitôt bafouiller une réponse ...

- Non, tu ... que ... responsabilité ... peux pas venir ....

La réponse n'était rien car pleurant elle n'avait pas su quoi dire. Elle se ressaisit et sécha ses dernières larmes. Et répondit d'une voix plus sure et vigoureuse.

- Je .... Celà me réchaufferas le coeur de te savoir, à mes cotés quand je retournerai chez moi ... j'ai peur de se qui m'attent ... très peur .... Je ne veux pu de cette guerre , dit-elle finalement ....

Ele chercha les lèvres de Torak et l'embrassa pendant un moment. Elle se calma ... et redevint tranquillement sereine. Elle arrêta après un moment le baiser et le regarda. Elle avait capter en lui ... qu'il se demandait un peu coment les orcs avaient fait pour attaquer Iluminaë .. elle tenta de lui répondre sans trop se faire souffrir.

- Tout à l'heure, quand tu a lu le message, tu devais te demander comment ils avaient fait pour réussir à attaquer le coeur du royaume .... Eh bien, ils ont du attaquer par le sud ... D'abord, ils ont passer par Mythoriel .. l'endroit le moins protéger de mon royaume, car il y a seulement Legendril qui est sécuriser par les dieux.

Elle avait parler de celà, comme si de rien n'était , ne ressentant aucune soufffrance ... grâce à la présence de son aimé, elle se sentait revigorer .... Elle lui avait tout dis celà ... sans même savoir s'il avait envi de connaître ce détail, ou non. Quand elle eu finit elle lui fit un petit sourire embarassée. Et alla par la suite, se réconforter entre ses bras. Elle était en paix avec elle-même en se moment. Pour combien de temps, elle ne savait pas, mais elle était bien et heureuse.

L'ange venait de tout lui expliquer, comment les orcs s'en était pris pour attaquer le royaume, elle lui expliquait tout les détails.
Le chevalier écoutait attentivement, il enregistrait tout ce qu'elle lui disait afin d'élaborer une stratégie le moment venu.
Enfin l'ange devint plus sereine, trouvant du réconfort dans les bras du général.
Il remarqua qu'elle était en paix tout comme lui, il se sentait bien en sa présence.
Puis Torak déclara, d'un ton serein:

-Mon amour, nous devrions nous préparer pour le diner etje crois que dans les jours qui suivent, le temps sera à la fête. Après je te promet que nous partirons repousser les orcs d'Iluminaë.


Puis il pensa à Imrahil et Akasha, son instinct lui disait que quelque chose d'important venait de se passer pour eux. Il ne savait pas quoi mais il était presque convaincu que c'était en rapport avec le mariage.
Enfin il se tourna vers Maïwen, il l'embrassa, longuement, la tenant toujours dans ses bras, profitant de l'instant en compagnie de son aimée.

Elle continua son baiser encore un bon moment. Tranquille et en paix avec elle-même, elle ne pensait plus à grand-chose à par l'avenir commun qui les réunirais un jours pour de bon. Elle arrêta après un bon moment le baiser. Et décida de lui répondre alors à ces paroles.

- Eh bien, tu a bien raison mon tendre amour, le diner doit surment bientôt commencer et je ne suis pas vraiment en tenu très adéquate, dit-elle en re gardant son armure et en rougissant un peu. Donc alors, si tu me laisse un moment, je me changerait bien de tenue, pour mettre une tenue , un peu plus digne de mon rang. finit-elle avec un grand sourire radieux.

Déposant un rapide baiser, elle se leva lentement et alla près de sa malle et chercha dans toutes ses tenues, un robe plus belle que toutes les autres et en sortit finalement une . Tandis qu'elle observait la robe , elle regarda du coin de l'oeil Torak et lui demanda.

- Nous pourrions annoncer à Dame Idril et à Imrahil, notre fréquentation, si tu te sens prêt et que tout à été bien de leur coté. Quand pense-tu? ...

Tandis qu'elle finissait de parler, Maïwen sortit finalement une robe du bleu royal éclatant, avec des dégrader vers le blanc ( le bas dla robe sé blanc. ) ..... Elle s'exclama alors d'une voix douce et claire.

- Enfin , je les trouver. dit-elle en se levant et en montrant la robe.

Torak admirait toutes les robes que sortait Maïwen de sa malle, elles étaient toutes plus belles les une que les autres. Enfin, l'ange avait eu raison en disant qu'elle n'avait pas la tenue approprié pour un diner en désignant son armure, cela avait même fait sourire le chevalier.¨
Puis elle lui posa la question qu'il attendait. Fallait-il annoncer à Akasha et à Imrahil qu'ils se fréquentait, lui et Maïwen?
La réponse était évidente:

-Je pense que nous devrions leur en parler mais après leur mariage. Ce serait un moment mieux approprier je pense.

Enfin son aimée venait de sortir une robe vraiment magnifique, le chevalier était admiratif.
Torak se leva donc a son tour, se dirigea vers Maïwen, tout en lui disant:

-Ta robe est splendide, tu a fait un très bon choix, mon amour.

Puis il lui déposa un rapide baiser, partit vers la porte et reprit, souriant:

-Bon, je te laisses. Tu va pouvoir te changer.

Torak eut un petit moment d'hésitation avant de sortir de la pièce. Il était si bien avec elle.
Mais il partit donc en direction de la salle du trône, mais il aperçu au loin son cousin qui semblait chercher quelqu'un ou quelque chose.
Il se dirigea donc vers lui.

Elle hocha la tête, en accord avec la réponse à sa question. Et fis un grand sourire quand il lui dit que sa robe était magnifique. Et juste avant qu'il sorte, elle le remercia du compliment et le laissa partir. Comme si au moment ou torak sortit, Maïwen se sentit un peu mal à l'aise, mais ne s'en inquiéta pas. Elle alla devant le miroir et observa la robe un moment.

- Oui, cette robe est parfaite. dit-elle alors.

Ouvrant le coffre , elle y redéposa son épée et s'assit lentement sur le lit ... Elle regarda par la fenêtre pendant un instant, perdue dans ses pensées. Jusqu'à se qu'elle fut interrompu par une persinne qui frappait à la porte. Elle accepta que la personne entre, et fut surprise de voir, un soldat de son escorte.

- Madame, dit le soldat en s'aguenouillant. Je venais vous dire que le roi du royaume de la terre, maître kandar, est arrivé , il y a quelques temps au château. Et il avait l'air envieux de rencontrer les autres rois et reines.

Elle écouta un moment et hocha la tête, elle irait voir ce roi plus tard.

- Merci soldat, vous pouvez retourner à vos occupations.

- Bien majesté

Tandis qu'il refermait la porte, elle commença à oter son armure prenant son temps ... car elle n'était pas pressée. Quand celà fut fais, elle déposa l'armure dans son coffre et s'observa un instant dans le miroir.

*oui, c'est vrai ... Torak a bien raison de dire que je suis belle et magnifique , car je le suis,* pensa-t-elle en souriant.

Elle enfila la robe par la suite et apella 1 serviteuse, pour l'aider à se préparer. Prenant encore quelques minutes, elle finit alors sa préparation. Plusieurs baguettes resplendissais à ses doigts et un collier de diamant d'une beauté magnifique était placer autour de son coup. Elle sortit alors de sa chambre et se dirigea vers la salle du trône. Avec pour escorte, 2 soldats de la garde d'élite de Windian.

Elle avait entrée rapidement dans sa chambre, ne se souciant que très peu des gardes à l'entrée de sa chambre, elle alla directement au coffre qui contenait son armure. Elle l'ouvrit donc et en sortit l'armure. N'ayant pas encore refermer la porte, elle alla à la fenêtre et regarda à l'extérieur, et médita un peu sur le futur, son phénix toujours près d'elle . Elle se laissa absorber par ses pensées, jusqu'à se qu'elle entende les paroles de Torak. Elle se retourna vers lui, un peu perdue, et lui fit un petit sourire gené. Elle alla refermer la porte derrière et se dirigea aussitôt dans ses bras juste après.

- J'ai peur Torak, dit-elle finalement .... j'ai peur de voir mon peuple souffrir ....Je ...

Elle se tut alors, elle ne savais pas quoi dire d'autre. Quelques larmes coulèrent lentement sur ses joues. Elle reste alors silencieuse un bon moment.

Dès qu'il fut entré, Maïwen se jeta dans ses bras, abattue et inquiète. Le chevalier la serra fort dans ses bras, encore plus lorsqu'elle lui avoua qu'elle avait peur puis lorsqu'il vit des larmes perlées sur ses joues. Torak attendit un long moment avant de répondre, lui aussi était inquiet pour le peuple du royaume béni.
La colère lui monta quand il pensa à ces satanés orcs attaquant, tuant et pillant tous sur leur passage. Mais sa colère passa très vite, puis il répondit à son aimée:

-Moi aussi j'ai peur, mon amour, nous avons tous peur. Peur du mal que subissent les peuples de Thalion, peur d'une nouvelle guerre, peur de toutes les créatures maléfiques.
Maïwen, j'ai fait mes adieux à Imrahil et Akasha, ma décison est définitive, je part avec toi, mais pas seul. Imrahil me confie une petite escorte de 100 chevaliers, tous sont très bien entrainés, ils peuvent se battre à 1 contre 10. Ils nous seront d'une grande aide contre les attaques d'orcs.

Le chevalier avait fini puis il regarda dans les yeux son aimée, il lui essuya les quelques larmes qui coulaient sur son visage, puis l'embrassa, longuement.
Enfin après ce long baiser, il déclara:

-Maïwen, partons-nous tout de suite?