Oh, il ne s'agit pas de crise d'adolescence, juste de la douleur infinie que procure la mutation... Quant au reste, je vous mets au ban d'essai. Essayez de vivre avec moi un mois ou deux, et nous verrons bien.
Elle s'était mise à triturer les voiles de son vêtement, et regarda le jeune homme dans les yeux. D'un signe, elle congédia Narae, qui ferma la porte derrière elle.
Voulez-vous les sentir?
Elle avait à présent son air détendu habituel, avec son sourire charmant et malicieux qui faisait ressortir ses dents blanches qui contrastaient avec ses cheveux noirs.