Drizzt Do'Urden
Nom : Do'urden
Prénom : Drizzt
Surnom* : aucun
Âge : 22 ans
Continent & Royaume : Argenis
Race : Drow reconvertit donc, un Elfe
Alignement: Bon
Indications corporelles
Apparence Physique : Il possède des cheveux blonds, il a également des yeux bruns perçants. Lorsqu’il se déplace il fait des pas de grandeur moyenne .Sa manière de se tenir droit le fait paraître autoritaire. Rares sont les moments où il ne porte pas son armure .De chaque coté de sa taille se situent deux puissants sabres.
Signe Particulier* : aucun
Indications mentales
Caractère : Il a une intelligence de stratège, quand il est confronté a un danger quelconque il trouve très souvent une solution, très loyal quand il est en compagnie de son supérieur il exécute les ordres sans discuter, il est un excellent combattant.
Ce que votre personnage aime : La liberté et la réussite
Ce que votre personnage déteste : Échouer, être enfermé et tout ce qui pourrait le renvoyer sous la terre.
Ses plus grandes peurs : retourner avec sa famille en ombre terre
Rêve(s)/Espoir(s) : Il espère revoir Zaknafein et il rêve de pouvoir avoir une vie parfaite.
Talents/Pouvoirs/Capacités : Son talent est d'être un stratège excellent et un combattant hors pair. Son seul pouvoir est qu'il a une agilité parfaite.
Indications Historiques
Histoire : Cette Histoire de ma vie commence dans une ville oubliée en ombre terre. Cette ville est sous la terre et quand tu y vis tu as très peu de chance de voir la couleur du soleil. Je vais vous raconter mon histoire. Il me reste peu de souvenir des 16 premières années, où je peinais comme serviteur. Seules les lueurs magiques de Narbondel m’émerveillaient. Lorsque je me souviens des heures passées dans leur contemplation, je suis stupéfait de l’inanité de ces années. Je me rappelle avec netteté la sensation qui courait le long de mon échine chaque fois que j’entendais claquer un fouet. Le coup cinglant, puis la douleur ne sont pas des choses qui s’oublient de sitôt. J’ai pourtant eu plus de chance que bien d’autres. C’est à ma sœur Vierna qu’incomba la tâche de m’élever. Elle ne montra jamais l’intense méchanceté de notre mère, et surtout de notre sœur aînée, Briza. Il y eu peut-être des moments dans la solitude de la chapelle : il m’arrivait de penser qu’elle m’aimait un peu. Est-ce un vœu pieux ? Même si elle était la plus douce de mes sœurs, elle restait toujours une prêtresse de Lloth. Elle n’aurait pas mis en danger ses ambitions pour protéger un mâle. Les années suivantes me laissent surtout un souvenir de mes pieds et du sol. Le page de la cour de Matrone Malice n’a jamais le droit de relever la tête. Puis viens ensuite l’Académie, dispensaire de tous les mensonges qui cimentent la société Drow. Même à présent, la simple idée de ce lieu m’effraie. Non pour les souffrances ou la peur constante de la mort : mais pour les diplômés. Leur crédo ? Tout est excusable du moment qu’on ne se fait pas prendre. Seuls les plus forts et les plus rusés peuvent jouir du pouvoir arraché aux mains qui ne le méritent plus. Les faux-semblants noient les miens sous la peur et la défiance. L’amitié n’est plus rien, et l’amour oublie jusqu'à son nom. La jalousie et l’ambition sonnent le glas de mon peuple. J’ignore comment j’ai traversé l’épreuve de l’Académie. Sans doute grâce a Zaknafein, mon mentor. Mes oreilles ont entendues les cris. Les cris des victimes innocentes. Les cris des cœurs purs livrés à l’injustice. Les cris des enfants assassinés...Zak. Ai-je trop demandé à Zak ? J’aurais pu devenir comme lui, Il me semble logique que ses erreurs m’ont enseignées le chemin. Sans son exemple, je n’aurais trouvé aucune solution. Mais mon choix est-il meilleur que le sien ? Oui, je le pense. J’ai à jamais perdu un maitre qui me montra comment et pourquoi recourir aux armes. C’est lui qui m’a insufflé le courage de partir. Je me souviens aussi du jour où j’ai quitté la cité drow. Le cœur plein d’espoirs d’attentes, de promesses meilleures, en croyant pouvoir mener ma vie en accord avec mes principes. L’avenir m’appartenait. A peine 30 ans, je réalise maintenant que je ne savais rien de la réelle solitude. J’avais hâte de vivre des siècles. Mais comment mesurer les siècles quant une heure semble un jour et un jour une année ? Guenhwyvar, ce compagnon m’a arraché au néant, je me surprenais à ne plus vivre que pour les heures où le félin m’accompagnait, où un autre être vivant dressait les oreilles aux paroles que je me forçais à prononcer. Il devient aussi mon horloge, car Guenhwyvar venait du plan astral environ tous les deux jours et cela pour une demi-journée. Sans lui, je n’aurais pas trouvé la force de continuer. Quand j’ai quitté Menzo, je croyais qu’il suffirait de vivre selon mes principes, que je serais heureux caché dans Ombre-terres, seul. Et pourtant cette « simple survie » m’avait presque tué. Un gnome et les siens me firent découvrir autre chose. Eux faisaient bien plus que survivre : Ils vivaient, riaient travaillaient et partageaient, autant leurs gains que la douleur. Les gnomes des profondeurs m’apprirent le sens du mot famille. Survivre pour survivre, il n’en était plus question. Voilà pourquoi je devais rejoindre le monde de la surface. Ce spectacle se produisait chaque matin. La douleur était inévitable, le soleil brûlait mes yeux, mais la beauté, le bouquet de couleur captivait mon âme. J’ai cru que l’émerveillement venait de l’étrangeté de cette scène. Mais à présent, je sais que le temps passé sous les couleurs du soleil représente mon désir de m’adapter au monde de la surface. Après mon adaptation complète je me rendis à une ville ou furent testées mes capacités au combat et je me fis envoyer comme chevalier dans une troupe d'élite.
Fonction : Chevalier de la troupe d'élite
Inventaire : //
Armes*: Deux sabres
Une lance d'arçon légère
Une épée longue et un écu
Arbalète légère.
Bijoux*: une boucle en argent pur qui tien sa cape, aucunement magique
Vêtements*: chandail normal noir avec une cape vert forêt et une veste sans manches par dessus son chandail et sous sa cape. Une ceinture avec deux foureaux pour ses armes. Il a aussi des gants qui sont recouvert en cote de maille. Une armure pour son torse qui ne lui enlève aucune agilité sous son chandail.
Une armure complète avec un casque complet qui a des ailes de dragon en métal sur les cotés, mais il ne la porte que lorsqu’il est en mission.
Autres*: Un cheval noir avec une tache blache sur le museau nommé Ridalf